Suite au prochain épisode …
Un roman peut être considéré comme l’addition de plusieurs nouvelles. À la condition que les nouvelles soient écrites pour faire partie d’un ensemble qui une fois terminé deviendra un roman.
Au siècle dernier de nombreux auteurs publiaient leurs histoires dans des journaux ou des magazines. Chaque épisode était bâti pour être complet avec une fin qui intriguait pour inciter le lecteur à attendre l’épisode suivant.
Je viens de relire un Arséne Lupin de Maurice Leblanc : Arsène Lupin gentleman-cambrioleur.
9 nouvelles qui composent les aventures d’un gentleman-cambrioleur paru en 1907. Neuf histoires distinctes, mais que l’auteur a liées et qui se lisent comme un tout. La dernière faisant même un petit rappel de la première par l’introduction du personnage de Nelly rencontré lors de la première.
Si j’ai choisi Maurice Leblanc et sa série d’Arsène Lupin, c’est que cet auteur écrivait ses romans comme des pièces de théâtre, et qu’il, en respectait les grandes règles de lieu, de temps et d’action.
Ceux et celles qui s’intéressent au gentleman-cambrioleur de Maurice Leblanc pourront faire un tour sur le blog ci-dessous qui lui consacre plusieurs textes :
http://arsenelupinetlesautres.wordpress.com/arsene-lupin/
On constatera que le mot gentleman-cambrioleur comporte déjà un paradoxe qui intrigue le lecteur. Mais c’est aussi la clef de tout personnage qui incite la curiosité et invite à la lecture.
Les ouvrages de Maurice Leblanc sur Arsène Lupin ne sont plus soumis à droits d’auteur. On les trouve donc en téléchargement libre sur de nombreux sites. Je dispose moi même de l’oeuvre complète en numérique, aussi n’hésitez pas à m’en demander un en téléchargement en passant par ma page contact. Il vous suffit de m’adresser un mail en mentionnant le titre que vous voulez.
cordialement
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